Le site officiel présente sa collection (textile pour enfant) Tintin hiver 2006 ayant pour thème les 7 boules de cristal. Aussi annoncé la sortie du fac-similé de "On a marché sur la lune" Tintin-Milou le blog présente de son côté les calendriers Tintin 2007
Avec sa couverture inspiré par celle des "Bijoux de la Castafiore" l'auteur Tom McCarthy pose une question simple : Tintin est-il de la littérature ? McCarthy analyse les codes cachés dans l'oeuvre d'Hergé... Pour en savoir plus Tintin and the Secret of Literature ainsi que sur le forum anglais de Tintinologist.org
À voir ... Exposition Leblon-Delienne d'Astérix à Tintin, la passion de la BD par LEBLON-DELIENNE
“A l'âge de sept ans, j'ai lu l'épisode de Tintin intitulé "Le Trésor de Rackham le Rouge", dans lequel le professeur Tournesol fabrique un sous-marin en forme de requin pour effectuer des plongées. Depuis, j'ai toujours voulu me construire un sous-marin en forme de requin.” Fabien Cousteau C'est soir que le réseau américain CBS présente le documentaire de Fabien Cousteau Shark:Mind of the deamon Pour en savoir plus sur Fabien Cousteau et son aventure Nage avec les Grands Blancs source:apple.com profiles
TINTIN, ALBUM-JEUX 2, éditions Moulinsart, 2006
Par Richard Langlois
Comment ne pas vouloir tout savoir, tout découvrir, tout trouver et étonner ses amis avec des jeux intelligents, des expériences surprenantes, des farces et des bricolages variés... lorsque cette participation ludique se présente avec de nombreuses illustrations, extraites des albums de Tintin. C’est avec une présentation graphique impeccable que la maison Moulinsart nous présente un deuxième album-jeux, conçu et écrit avec une grande rigueur didactique.
Comme pour le disparu journal TINTIN, ce livre s’adresse aux 7 à 77 ans, sans barrière sociale et sans frontière ethnique. On a misé sur un souci universel dans la lecture, comme l’a toujours fait Hergé pour les aventures de Tintin. Sur la piste de notre reporter, nous devons résoudre des énigmes qui aiguisent nos sens et met au défi notre réflexion logique. Dans un premier jeu, on doit reconnaître et distinguer les principaux ennemis de Tintin, afin de les éliminer. Puis on nous fait visiter des lieux familiers et d’autres moins familiers. Pour cette quête, il faut bien choisir les moyens de transport qu’on nous offre. On nous fournit des outils pour décrypter les messages secrets, qu’ils soient en morse ou sous forme d’ hiéroglyphes. Un défi de taille surgit lorsqu’il faut éviter les mauvais tours d’Abdallah. Un voyage guidé sur la lune nous permet de découvrir chaque méandre de notre satellite et d’apprivoiser chaque étape du voyage pour s’y rendre. Il en sera de même pour explorer le monde sous-marin et tout l’attirail marin, de la machine de hissage au treuil. Nous apprenons même à nous orienter en pleine mer.
Une des parties les plus instructives, ce sont les pages consacrées aux étapes de la réalisation d’une planche de BD, du croquis à l’impression, avec en prime, le scénario de la main d’Hergé, ses crayonnés, ses ébauches de mise en page, son encrage et sa mise en couleur.
Un livre très complet de jeux, de tests, d’énigmes, d’activités créatrices et le récit commenté du voyage sur la lune, à la manière d’Hergé. Quoi de mieux pour garantir une lecture des plus agréables et de nombreuses heures d’amusement éducatif; cela pour plusieurs générations de jeunes et de moins jeunes qui veulent vieillir sans devenir vieux.
Merci tout spécial à Richard Langlois spécialiste québécois en bandes dessinées... Les ouvrages cités par Richar Langlois sont disponible par le site de Flammarion Diffusion ainsi que sur Store Tintin.com
Hergé, LES VRAIS SECRETS DE LA LICORNE, éditions Moulinsart, 2006
par Richard Langlois
Dans un petit format à l’italienne, on nous offre un véritables trésor: la version intégrale du SECRET DE LA LICORNE en noir et blanc, paru en 1942 dans Le Soir volé, journal aux mains de l’envahisseur allemand. Pour la première fois nous pouvons lire en album les planches inédites, non retouchées et qui ont été publiées en 2004, en hommage au 75 ans de Tintin. Une réédition rendue possible à partir des films d’impression retrouvés à la Fondation Hergé. Cette manne nous donne droit aux cases demeurées inédites et au lettrage des ballons de la main d’Hergé.
On comprend pourquoi c’est dans LE SECRET DE LA LICORNE que le talent d’Hergé atteint son apogée. C’est l’album qui lui permet , en retrait de l’actualité de la guerre, d’explorer un univers imaginaire plus personnel avec une identité nouvelle. Au bout d’un récit avec une intrigue policière bien ficelée, avec des dimensions oniriques et fantastiques, nous découvrons le refuge enchanté de Moulinsart; d’abord hostile qui deviendra à la fin le lieu métaphorique du trésor-bonheur qui dort en chacun de nous.
Les véritables joyaux de cet ouvrage, ce sont les pertinents commentaires de Daniel Couvreur et Frédéric Soumois, accompagnés des précieuses recherches documentaires de Philippe Goddin, le gardien attitré du trésor. Les contributions de ce trio, nous dévoilent les arcanes de la création au jour le jour durant les années difficiles sous l’Occupation, durant lesquelles Hergé ne voulait pas mettre Tintin entre parenthèse. Ce dernier a opté pour un récit d’évasion totale, en nous plongeant dans un voyage extrême dans l’espace et le temps. Toute la chasse au trésor à partir d’un parchemin qui se lit comme dans LE SCARABÉE D’OR de Poe, se déroule dans un «ailleurs» très vague, quelque part dans l’Atlantique, dans un endroit assez flou pour échapper à toute censure.
C’est dans LE SECRET DE LA LICORNE que Haddock s’impose comme un personnage principal en retrouvant son ancêtre François de Hadoque et que les Dupondt atteignent un sommet du comique, tant au niveau de leur caractère spécifique, de leur discours confus et de leur gestuel burlesque. Avec la force de ces personnage, c’est la première fois qu’Hergé développe une intrigue assez étoffée qui s’articulera sur deux albums. Goddin nous précise qu’Hergé se révèle au sommet de son art, parce qu’il est enthousiaste, inventif et décomplexé en lançant ses héros dans une nouvelle aventure remplie de magie et de secrets.
Il faut lire en parallèle l’album en couleur de 1943 et la version 1942 pour apprécier les coupures, les ajouts, les corrections jusqu’à l’uniformisation de la ponctuation. Hergé coupe dans les dessins, élimine des éléments du décor pour permettre à la couleur de jouer un rôle narratif et psychologique. Il redessine complètement la Licorne. Les dialogues seront retouchés, mais en perdant des expressions savoureuses aux parfums jugés trop exotiques. Les personnages parleront un français plus académique. Par coquetterie les
« Dupont » deviendront les « Dupondt ». On précisera le vocabulaire maritime et l’architecture des composantes du bateau. On apprend qu’il n’y a pas eu de navire ayant porté le nom de Licorne en France, mais plutôt en Hollande et au Danemark, et plusieurs Unicorn anglaise au XVIIe siècle. Hergé a consulté abondamment le livre paru en juin 1942 d’Alexandre Berqueman L’ART DE LA MER. Nous découvrons l’origine historique des 3 Rackam le Rouge, de même que le sens étymologique de la « Sainte-Barbe ».
Les observations commentées les plus savoureuses dans ce décryptage méthodique et historique du SECRET DE LA LICORNE relèvent de détails documentaires inattendus et très pertinents. Voici juste quelques exemples, donnés en vrac, pour mieux mesurer l’importance et l’ampleur de toutes la recherche soumise. Lors de la promenade au « Marché aux puces » de Bruxelles, Milou se gratte l’oreille... On apprend que l’étrange expression « naviguer de conserve » n’a rien à voir avec les boîtes métalliques; c’est un terme de marins pour dire que les navires se protègent en naviguant ensemble. Le nom de La Licorne devient mythique lorsqu’on nous informe qu’il y avait une rue de La Licorne à Bruxelles et une auberge locale dont l’enseigne annonçait La Licorne d’or. Même s’il n’y a pas de rue du Labrador où demeurait Tintin à Bruxelles, une rue près du Vieux Marché s’appelle Terre-Neuve, une province du Canada qui comprend une grande partie du... Labrador. Parce que les Allemands rationnent l’essence en Belgique, il faut attendre la 83e bande avant de voir un véhicule faire irruption. Hergé dessine des rues et des routes sans voitures. On marche beaucoup dans cet album, comme toute la Belgique occupée. Le nom de famille du collectionneur de navires miniatures, Yvan Yvanovitch Sakharine réfère aux annonces dans les journaux pour vendre, en cette période où le sucre est rare, une substance chimique du nom de saccharine, dont la saveur est proche de celle du sucre. Les vols des portefeuilles, brouillant les pistes de la quête du trésor, sont inspirés d’une documentation du journal Le Soir qui rapporte des dizaines de disparitions quotidiennes de porte-monnaie à Bruxelles en 1942. Le kleptomane Aristide Filoselle coupera et collera ces colonnes du journal.
La crypte monumentale du château de Moulinsart s’explique par le fait qu’en mai 1942 il y a plusieurs chantiers archéologiques en Belgique: la restauration de la crypte romane de Nivelles, les fouilles du cellier roman à Tournai et douze voûtes de l’ancienne crypte de l’abbaye Saint-Martin font l’actualité. Toutes les pièces historiques et archéologiques accumulées dans la crypte secrète de Moulinsart ont été empruntées aux planches d’illustrations de l’encyclopédie Larousse en deux volumes. Le gigantisme presque irréelle de la crypte dans l’album se comprend mieux lorsqu’on sait qu’Hergé n’a pas encore esquissé la silhouette de Moulinsart que l’on découvre dans son entièreté seulement à la fin du TRÉSOR DE RACKAM LE ROUGE, un an plus tard. Pour le moment, Tintin qui a été chloroformé n’a aucune idée de l’endroit où il se trouve prisonnier. Il est étonnant de voir notre héros en super-héros et soulever une poutre dont la masse exige un effort surhumain.
Dans la version 1943, les décors seront plus raffinés, des bruitages supprimés et des découpages refaits. Ce sera esthétiquement plus plaisant, mais que d’effets prodigieux oubliés; entre autres le remontage d’une balle de revolver qui, dans la version 1942, passe d’une case à l’autre et procure une rapidité et un frison plus grand dans la lecture. La poursuite de Tintin par un gros chien danois est plus dynamique dans la première version parce que plus proche du dessin animé. Il faut reconnaître que la couleur brise la cocasserie burlesque des bousculades et des chocs de corps et d’objets.
Dès les premières lignes de cet ouvrage, les trois spécialistes de l’oeuvre d’Hergé éveillent notre curiosité, aiguisent notre sens critique et donnent à chaque lecteur une plaisante envie incontrôlable de lire de front les versions 1942 et 1943 du SECRET DE LA LICORNE, si différentes dans les détails. Le judicieux choix de cases en couleur en parallèle avec la version intégrale en noir et blanc s’accompagne de commentaires dont la rigueur sont des modèles d’analyse et de synthèse. Un ouvrage incontournable par l’exactitude sur les faits historiques et la pertinence des explications. Une riche étude qui alimente l’enthousiasme et repaît l’intérêt le plus vorace des tintinophiles les plus affamés.
Du 22 juillet au 6 août 2006, vous aurez le plaisir de découvrir une exposition plus que "TINTINESQUE" dans le cadre de l'Eglise Saint-Pierre à Senlis (France). De nombreuses scènes illustreront la "collection hergéenne" de E.R. dont de nombreux clins d'oeil et ceci sur 800m2 de surface... Le "Vieux Marché" sera présent, de nombreux costumes et autres, et les enfants disposeront de tables de jeux divers afin de vivre les Aventures et ceci accompagné d'une charmante animatrice... Le Journal de TINTIN sera aussi présent et d'autres surprises... Senlis (60300) est à 40 km au Nord de Paris, sortie autoroute A1. Parking nombreux. infos complémentaires : E-Mail: emmanuel.rambure@free.fr - Tel: 00 33 3 44 60 12 25 - Adresse: Ancienne Eglise Saint-Pierre (centre ville) - Heures d'ouvertures: de 10 à 13h et 14 à 19h30. Le samedi en nocturne jusqu'à 22H. Source espacemilou
Thierry Groensteen, LE RIRE DE TINTIN, ESSAI SUR LE COMIQUE HERGÉEN, éditions Moulinsart, 2006
par Richard Langlois
Le réputé animateur français du 9e art, Thierry Groensteen, nous présente un inventaire exhaustif, abondamment commenté, des formes variées qui provoquent le rire dans les aventures de Tintin. Méthodiquement et très rationnellement, il divise sa magistrale étude du comique en trois grandes catégories: la physionomie, le sentiment et le langage. Des sous-catégories se retrouvent dans le traitement du comique de l’insistance, de la répétition et du mécanisme du burlesque. L’auteur insiste, avec beaucoup d’exactitude, sur le comique spécifique de Haddock et des Dupondt, en s’attardant sur deux albums où l’humour semble le plus prolifique: TINTIN AU TIBET et LES BIJOUX DE LA CASTAFIORE.
Les parties de l’ouvrage les plus intéressantes et originales ne concernent pas les analyses académiques du comique, mais plutôt celles qui expliquent l’évolution du découpage chez Hergé pour en arriver à la maîtrise de l’ellipse. Même constatation sur l’utilisation progressive des ballons avec des bulles pour exprimer une voix intérieure. Groensteen retient toute notre attention lorsqu’il aborde des interprétations symboliques comme la suivante: « une seconde naissance, un nouvel accouchement, de Tintin dans LE CRABE AUX PINCES D’OR qui émerge d’un hublot étroit ouvert sur la nuit, portant attaché à la taille une corde en manière de cordon ombilical. » L’auteur élabore un autre rapprochement judicieux entre Tintin chez les Soviets déguisé en fantôme et Philippulus, le prophète dans L’ÉTOILE MYSTÉRIEUSE, disant : « Temblez mortel, votre châtiment est proche... »
Nous découvrons comment Hergé tire un parti comique des moindres objets: un réverbère, un réveille-matin, un sparadrap, un verre cassé, une marche brisée... Il avait une prédilection pour les liquides répandus ou gaspillés: douche subite, crachat de lamas, éclaboussure de flaques d’eau, hublot ouvert... Hergé savait exploiter tout le comique potentiel d’un scaphandre ou d’un simple lit; l’humour était d’autant plus conscient que ces accessoires sont indispensables au récit et transcendent leur fonction strictement utilitaire. Les thèmes récurrents de la nourriture et de la boisson dans TINTIN AU TIBET, malgré leur nature triviale nous sont « offerts en contrepoint comme une dimension héroïco-spirituelle de l’aventure ». Groensteen continue cette analyse spirituo-rabelaisienne dans TINTIN ET LES PICAROS en nous dévoilant que c’est dans le registre du « farcesque qu’ont été célébrées les noces de la nourriture et de l’humour ».
Il faut reconnaître la grande érudition de l’auteur, mais à vouloir trop expliquer l’humour on lui enlève toute sa valeur comique et sa force subjective. Hergé était le premier à voir d’un mauvais oeil toute étude « trop sérieuse » de son oeuvre. L’extrapolation mécanique des rouages internes de son comique, avec un vocabulaire hermétique, l’aurait mis très mal à l’aise. Dès le départ, le titre de l’ouvrage crée une confusion d’interprétation en se référant au « rire DE Tintin »; d’autant plus que Groensteen prend la peine de consacrer un chapitre intitulé Tintin, sérieux... avec mesure et démontre que le héros vedette d’Hergé « n’a pas une nature comique et il est malaisé d’apporter des preuves formelles s’il dégage de l’humour ». Et de conclure que « Tintin apparaît comme celui qui conserve la tête sur les épaules en toutes circonstances et qui traque la vérité en sachant raison garder » .
Hergé savait que le 9e art, comme le jazz, est un phénomène qui est né aux États-Unis, le seul pays qui pouvait devenir l’endroit de prédilection pour cette nouvelle forme d’art. Comme ses compatriotes belges, Georges Simenon et Jean Ray, Hergé a puisé ses sources d’inspiration dans la mentalité anglo-saxonne plus que dans la tradition latine. Groensteen montre comment Hergé se serait inspiré de personnages français tels Monsieur Jabot, Monsieur Crépin, Monsieur Vieux Bois, le Docteur Cosinus ou les deux filles de la famille Fenouillard. En comparant le comique d’Hergé avec celui de Goscinny, Groensteen distingue le comique particulier du Belge Hergé de celui du scénariste français qui privilégie la dérision, avec ses formules élaborées à partir de calembours anachroniques et de railleries sur les particularismes ethniques. Même si Tintin se trouve dans des situations drôles, notre reporter n’est pas un voyageur caricatural comme Astérix et Obélix.
Il est difficile de prendre tout à fait au sérieux cette étude ou Groensteen se complaît à nous imposer ses théories personnelles issues de « sa » thèse sur l’origine « töpfféen » du 9e art. On comprend mal l’absence de toute référence à Henri Bergson, une des grandes autorités sur le rire. Ce dernier disait: « Il n’y a pas de comique en dehors de ce qui est proprement humain ». Pour tous les hergéologues, là se retrouve le véritable comique d’Hergé: dans un profond humanisme et non dans une froide mécanique.
À lire Un article du blog Tintin's world sur le journal Tintin et un lien vers la page du site officiel qui annonce la sortie de l'ouvrage intitulé "Le Journal Tintin/Les coulisses d'une aventure"(Éd.Moulinsart) sortie prévue pour septembre 2006
Deux sites ont fait leurs apparitions en douce sur la toile tintinesque. J'ai découvert ces deux sites sur le blog de notre amie Milou qui donne aujourd'hui son compte rendu du premier BBQ des amis d'Hergé. Merci Milou !
À découvrir Le premier est Un superbe blog consacré entièrement au plus proche collaborateur d'Hergé , Bob De Moor enfin Bob sort de l'ombre! Le suivant un site à voir absolument Moulinsart en 3D.Notez que même s'il n'est pas entièrement complet à elles seules les pages disponibles vont vous surprendre agréablement.
Deux nouveaux blogs arrivent sur la toile ! Tintin-milou bien connu pour ses articles par les habitués du blog de Tintin.com et Tintinoweb autre site d'un passionné de Tintin à consultez régulièrement. Planète Tintin souhaite la bienvenue à ses passionnés qui partagent avec nous leurs passions du monde de Tintin.
Communiqué des Labradors du 15/06/2006
4es Rencontres Internationales Tintinophiles de
Chabeuil 2006 Éclipse et Opium à Chabeuil-Des Incas aux Fils du Dragon...Afin de fêter les 60 bougies
du Journal de Tintin, les Labradors vous informent que cette année et uniquement cette année, la Bourse Tintinophile sera élargie à toutes les BD parues dans le Journal de Tintin. Nous tenons à préciser que ces dispositions revêtent un caractère unique et exceptionnel ,car nous ne voulons pas nous diversifier dans l'avenir sur des salons toutes BD . Notre président fondateur a créé cet évènement, rappelons-le en mars 2003, afin de réunir tous les tintinophiles de France, d'Europe et d' ailleurs. Afin d'avoir une meilleure organisation de cette bourse tintinophile, nous vous demandons de vous inscrire au plus tôt, car à la vue des BD parues dans le journal de Tintin, durant toutes ces années cette bourse devrait être gigantesque et phénoménale .
Nous rappelons notre site internet www.26ruedulabrador.com pour inscriptions ou renseignements .
D'autre part,le Marché aux puces se déroulera une fois de plus sur les quais, et sur deux jours cette année, suite à la forte demande de nos nombreux visiteurs. Pour les inscriptions, les démarches sont les mêmes que pour la Bourse.
Nous ferons régulièrement des infos complémentaires sur votre site préféré...
À noter à votre agenda Tintin grand marché aux puces le 22 juillet 2006 détails sur tintin.com L'association les amis de Hergé annonce leur premier grand barbecue source : espacemilou
* Tintin.com annonce la sortie en septembre 2006 de l'ouvrage de Monique Moons intitulé
Bianca Castafiore,la Diva du vingtième siècle. Un second ouvrage sur la diva par Albert Algoud intitulé
La Castafiore: biographie non autorisée est disponible depuis peu.
Nouveautés chez Casterman:Fac-similés... "Objectif lune" "On à marché sur la lune"
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